Dès janvier 2019, la première phase du dispositif de vidéoprotection se mettait en place, avec 15 caméras fixes déployées sur neuf sites, permettant 27 vues différentes, ainsi qu’une caméra mobile. Moins d’un an après, la deuxième phase est en cours de déploiement avec une douzaine de caméras supplémentaires, dont des modèles LPI, qui permettent la lecture de plaques d’immatriculation.

Pour Philippe Boyer, responsable de la Police municipale, la vidéoprotection est un véritable atout pour leurs missions. « Depuis sa mise en place, nous constatons l’efficacité de l’effet caméra. Le parc Kelheim ou les abords du collège en bénéficient… La gendarmerie, à Ambarès-et-Lagrave mais également à Carbon-Blanc et à Bouliac, nous sollicite régulièrement ». Une quarantaine de réquisitions d’images ont été établies en 2019, permettant à la gendarmerie de mener à bien ses investigations. 

Lors de la séance plénière du Contrat local de sécurité et de prévention de la délinquance, la gendarmerie a présenté un bilan 2019 encourageant, avec une baisse de plus de 10 % de la délinquance générale.